Par le triomphe du mobile money en Afrique francophone, la finance personnel ne tremble plus lorsque l’inquiétude sur le faible taux de bancarisation se fait évoquer.
Ejara et Djamo — deux startups, avec pour fondateur des africains entre autres collaborateurs de différentes nationalités — se tâchent d’innover dans le secteur financier en Afrique centrale et de l’ouest respectivement.
$8 et $14 millions selon Techcrunch, sont des chiffres de leur levée de fonds récente qui permettra d’étendre leur domaine d’activité et budget marketing pour mieux faire connaître les services qu’ils offrent.
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Ejara est basée à Douala et Abidjan pareil que Djamo qui opère également au Togo. Des utilisateurs peuvent épargner en téléchargeant ces applications. Mais aussi, avec Ejara il est possible d’acheter des actifs cryptomonnaies.
Djamo, la toute première startup à intégrer l’incubateur américain Y Combinator depuis la Côte D’ivoire permet au ivoiriens de recevoir leur salaires directement via l’application, et aussi créer des cartes de débit virtuels pour faire des achats en ligne.